Ass Nat : Deo Nkusu salue la dextérité et le tact de Jean-Marc Kabund lors de la conduite de plénière
Alors que toutes les interventions des honorables députés félicitaient l’honorable Sakata pour sa proposition sur le fonctionnement de régime pénitentiaire, L’élu de la ville de Matadi, Deo Nkusu affectueusement appelé ” kisalu me banda ”entendait le travail commence a surpris la salle.
Comment ? Deo Nkusu, contre toute attente a salué la conduite de la plénière menée par Jean-Marc Kabund, le Premier Vice Président de l’Assemblée Nationale à l’absence du Président Mboso empêché. Pour Deo Nkusu, la situation des cellules incarcérales dans notre pays demeure préoccupantes reconnaît l’élu de Matadi. Nkusu met son expérience du gouvernorat à profit et se rappelle où il fût Vice Gouverneur du Kongo Central sous le Gouv Floribert Mbatshi Batshia présent dans la salle.
Il révèle qu’à l’époque, il ne fallait pas attendre éperdument l’intervention de Kinshasa pour la prise en charge des prisonniers sinon il y aurait catastrophe humanitaire souligne Nkusu.
Se référant aux prisons de toute la province du Kongo Central et précisément à la prison Molayi de Matadi. Il avoue qu’il fallait beaucoup de gymnastiques pour supporter les prisonniers en détresses permanent.
Selon l’entendement de Nkusu, il y a nécessité que l’Assemblée Nationale joue sa partition en mettant à la disposition de la République une loi qui va sécuriser tous le monde y compris les prisonniers qui restent des humains a renchérit Deo Nkusu.

Pour Nkusu, la proposition de loi vient à pic pour humaniser la gestion de nos prisons a souligné ” Kisalu me banda ”.
C’est dans cette dimension humanitaire que Nkusu l’unique parmi les plaignants a retiré sa plainte contre Daniel Nsafu à l’époque journaliste pour lui éviter cette torture pénitentiaire dans des conditions infra-humaines. Enfin, l’honorable Nkusu presqu’en poète a justifié ses éloges à Kabund pour faire remarquer à la salle contrairement aux habitudes. Cette plénière a connu une sérénité digne de l’institution parlementaire par le respect mutuel, le partage de quotas a intervenir surtout la prise des paroles le tout selon Nkusu est l’œuvre indélébile de Jean-Marc kabund qui mérite un chapeau bas.
Par Gerard Lemba
Le Télégramme du Congo