Alors que le Président de la République Félix Antoine Tshisekedi est favorable à la demande des évêques Catholiques et de l’ECC pour l’albitrage à la recherche d’un consensus des animateurs de la Centrale Électorale, cette proposition divise les stratèges de la présidence a-t-on appris après moult recoupements.
Pourquoi ? Les contres de cet avis estiment qu’il y a un piège dans l’esprit de cette demande des princes des églises dans le Sens que le Chef de l’État Félix Antoine Tshisekedi s’est exprimé clairement comme candidat à sa propre succession aux scrutins de 2023.
Les tractations des religieux pour le choix des animateurs de la Centrale Électorale sont émaillés des conflits rigides et extrémistes.
Ce camps tient à préserver la neutralité du juge suprême appelé à protéger la constitution y compris la laïcité de l’État. Selon ce camp présidentiel c’est la CENCO et l’ECC qui sollicitent alors Israël Dodo Kamba ne trouve pas d’opportunité.
Enfin, Ils renforcent leurs craintes pour dire les moindres gestes ou mots seront exploités en faveurs d’un camps ou l’autre dans une compétition où il va lui même se présenter comme candidat à part entière. C’est clair, sa position sur la question risque de jetter un discrédit anticipativement sur les résultats.
Les favorables pour cette sollicitation voient une issue pour soigner l’image déjà ternie de la RDC. Les favorables brandissent comme les évêques le statut de garant de la nation et de bon fonctionnement des institutions.
Voilà comment cet arbitrage sollicité divise la présidence et met en mal le Chef de l’État. Selon ce même groupe, FATSHI se fonde sur le conseil du feu Kitenge Yesu qui lui aurait dit de prendre à cœur les positions des évêques à divers problèmes.
Par Joseph Lounda et Gérard Lemba
Le Télégramme du Congo
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